D’après la jurisprudence (arrêt de la cour de Cassation du 04/05/1992), est considéré comme illettré, et par conséquent sa démission entachée de nullité, le salarié maîtrisant la langue arabe, mais ne sachant lire ni écrire le français, langue utilisée pour rédiger la lettre de démission.
LE CONSEIL JURIDIQUE
par Maître M’Hamed EL FEKKAK